Alban Berg

Wozzeck

VORSTELLUNGEN

PREMIERE:
Mittwoch | 02.10.2024 | 20:00

REPRISEN:
Freitag | 04.10.2024 | 20:00
Sonntag | 06.10.2024 | 16:00
Dienstag | 08.10.2024 | 20:00
Donnerstag | 10.10.2024 | 20:00
Samstag | 12.10.2024 | 20:00
Montag | 14.10.2024 | 20:00

BESETZUNG

Musikalische Leitung:

Daniele Rustioni

Inszenierung:

Richard Brunel

Wozzeck:

Stéphane Degout

Tambourmajor:

Robert Watson

Hauptmann:

Thomas Ebenstein

Doktor:

Thomas Faulkner

Marie:

Ambur Braid

Andres:

Robert Lewis

Erster Handwerksbursch:

Hugo Santos

Zweiter Handwerksbursch:

Alexander De Jong

Narr:

Filipp Varik

Margret:

Jenny Anne Flory

REZENSIONEN

Orpheus »
11/12.2024

… Vorzüglich daneben: der hohe Tenor von Thomas Ebenstein als Hauptmann. …

Res Musica »
05.10.2024

… L’excellence de l’équipe vocale est annoncée en fanfare par le Capitaine de , dont voix de tête et voix mixte sont prodigues en aigus puissants. …

DIAPASON »
07.10.2024

… On aurait apprécié un Docteur plus incisif, plus morbide que celui de Thomas Faulkner, plutôt pâlot à côté du capitaine truculent de Thomas Ebenstein – haut en couleur, le ténor soulignera à merveille l’agitation névrotique du personnage.  …

Opernglas
11.2024

Thomas Ebenstein als Hauptmann gelingt ebenfalls eine mehr als eindrückliche Leistung. Er scheut sich dabei auch nicht, seinen sehr sicheren Charaktertenor mitunter mit schneidender Schärfe zu führen. …

OPÉRA MAGAZINE »
06.11.2024

… Et comment résister au jeu rarement aussi fluide, et assumé, entre les registres de Thomas Ebenstein, qui évite au Capitaine les cris de chapon …

La Croix »
05.10.2024

… Mention particulière au Capitaine tapageur et fanfaron incarné par le ténor Thomas Ebenstein : son charisme et sa voix percutante se distinguent. …

Le Figaro
06.10.2024

… On est plus réticent envers le chant trop souvent criard d’Ambur Braid, dans le rôle de Marie qui gagne toujours à ne pas être réduit à sa dimension expressionniste. On n’en est que plus reconnaissant à Thomas Ebenstein de ne jamais oublier de chanter le rôle du Capitaine sans exagérer le côté nasillard du ténor bouffe, tout comme à Robert Watson qui ne se croit pas obligé de hurler le Tambour-Major. …

Le Monde »
08.10.2024

… Si le spectacle ne connaît pas la moindre baisse d’intensité, il le doit aussi à une distribution qui vaut à chaque personnage d’apparaitre comme un rouage essentiel de la tragédie. Entre autres, le Docteur à la prétention abyssale de Thomas Faulkner, le Capitaine prompt à dérailler de Thomas Ebenstein et le Tambour-Major qui ne voit pas plus loin que son sexe de Robert Watson. …

FAZ »
10.10.2024

… Militärische Uniform als Zeichen seines Standes trägt nur der Hauptmann, dessen grotesken Charakter Thomas Ebenstein mit hysterisch-überdrehtem Tenor herausstellt. …

nmz »
11.10.2024

Thomas Ebenstein setzt als Hauptmann seine hohen Töne prägnant ein, Thomas Faulkner gibt als Doktor den „seriösen“ Wissenschaftler, der freilich den Scharlatan nicht so ganz verleugnen kann. …

opera-online.com
02.10.2024

… On notera particulièrement le Capitaine de Thomas Ebenstein qui traduit bien le caractère un peu criard du personnage sans pour autant travestir sa voix et en sachant la moduler selon les libertés – restreintes – que lui offre sa partition. Il montre une figure militaire mais surtout dynamique et se hisse particulièrement haut parmi les personnages secondaires.  …

concertonet.com »
02.10.2024

… Son chant est forcé et elle ne réserve même pas quelques instants de lyrisme pur à la scène de la lecture de la Bible, qui est un cadeau pour toute soprano dramatique. Si le Docteur de Thomas Faulkner suit la même tendance dans sa ligne de chant, le reste de la distribution est parfait avec un Capitaine (Thomas Ebenstein) d’une grande précision, l’Andrès de Robert Lewis, très lyrique, donnant beaucoup de relief au rôle d’accompagnateur de Wozzeck que la mise en scène lui prête.    …

Olyrix »
04.10.2024

Thomas Ebenstein, dans le rôle du Capitaine, déploie une voix métallique et souple, exagérant volontairement certaines lignes pour accentuer une dimension plus excentrique du personnage. …

… Le ténor de Thomas Ebenstein (le Capitaine) est glaçant.   …

Première Loge »
05.10.2024

… Plus impressionnante encore est la Marie de la soprano canadienne Ambur Braid, d’une amplitude vocale sans limite, mais sans jamais forcer le trait, toujours attentive à la diction si essentielle pour ce répertoire, et d’une présence scénique qui force le respect. Le reste de la distribution atteint quasiment les mêmes sommets : admirable Capitaine de Thomas Ebenstein, au timbre cristallin et extraordinairement à l’aise dans le registre aigu et suraigu, tandis que Thomas Faulkner campe un non moins convaincant Docteur, hystérique à souhait, sans que là aussi l’excès domine.   …

Forum Opéra »
06.10.2024

… Le ténor autrichien Thomas Ebenstein est un Capitaine d’une précision métronomique, comme il sied à son rôle, doté d’une rare clarté d’élocution, et dont les aigus témoignent d’une aisance parfaite. C’est lui qui domine l’ensemble des rôles « négatifs ».   …

cult.news »
08.10.2024

… Vocalement elle est stupéfiante, envoyant ses aigus avec une facilité déconcertante, sans jamais les crier malgré les écarts de note difficiles imposés par la partition. La voix est large et puissante et l’incarnation, extraordinaire.
Il en est de même pour le percutant Capitaine du ténor Thomas Ebenstein dont les aigus forte s’imposent dès le premier tableau, et qui sait user d’une projection insolente pour darder la salle de ses aigus tranchants. Dans un style plus intérieur, comme un tortionnaire genre serial killer volontairement effrayant pas son côté monocorde pénétrant, son comparse l’inquiétant docteur de la basse Thomas Faulkner, fait la paire pour représenter ceux qui tirent les ficelles pour leur intérêt propre sans la moindre pitié pour le pauvre Wozzeck. …

… Dans cette œuvre, deux personnages secondaires ont invariablement attiré l’attention des auditeurs depuis 1925 : Le Capitaine et le Docteur, sortes de Bouvard et Pécuchet se hissant aux registres angoissants ou sordides. Or, l’attente n’est pas déçue. Pour le premier, Thomas Ebenstein impose une typologie de Spieltenor richement doté en volume. Percutant, incisif, il se joue de l’émission des notes suraiguës, alternant voix de tête, voix mixte appuyée et même voix de poitrine (complètement inattendue sur « wie eine Maus » dans la scène princeps). Voilà un interprète qui pourra rendre de grands services en Mime du Ring wagnérien ou en Hérode Antipas dans la Salome de Strauss, entre autres ! …

Connessi all’Opera »
09.10.2024
(besuchte Vorstellung 06.10.2024)

Thomas Ebenstein (il Capitano), malgrado una piccola difficoltà all’inizio dell’opera a seguire i tempi piuttosto spediti imposti della bacchetta di Rustioni, si rifà con acuti ben chiari.  …

… Le Tambour-Major aux rodomontades extraverties de Robert Watson, le Capitaine à l’extrême aigu abordé aux limites de la voix de fausset de Thomas Ebenstein et le Docteur à la basse acérée de Thomas Faulkner forment un terrifiant trio de tortionnaires. Les autres comprimari – sans oublier l’Enfant d’Ivan Declinand, à la fabuleuse présence, complètent de manière exemplaire cette distribution d’une formidable homogénéité. …

anaclase.com »
12.10.2024

… La projection inouïe, la précision absolue et la présence de Thomas Ebenstein, ténor à la couleur flatteuse, campent un Capitaine qui laisse pantois [lire nos chroniques de Dantons Tod et du Rheingold] ! …

Brugs Klassiker »
15.10.2024
(besuchte Vorstellung 14.10.2024)

… Natürlich auch an der selbst in der letzten Vorstellung vollen, mit einem aufmerksam dem klaren Deutsch vor allem Stéphane Degouts wie dem tenorschneidenden Hauptmann Thomas Ebensteins lauschenden Publikum in der Opéra de Lyon, wo der Intendant Richard Brunel inszeniert hat. …

bachtrack.com »
15.10.2024
(besuchte Vorstellung 14.10.2024)

… Les ténors amènent aussi beaucoup de satisfactions, avec par ordre d’apparition le Capitaine insidieux de Thomas Ebenstein, aux aigus en voix de tête pour les plus hauts, le ténor lyrique projeté avec une forte énergie de Robert Lewis en Andrès, le Tambour-major sans scrupule de Robert Watson et le Fou de Filipp Varik, à l’apparition plus épisodique. …

Wanderer »
16.10.2024
(besuchte Vorstellung 14.10.2024)

… Le docteur de Thomas Faulkner m’est apparu en revanche indifférent, pas vraiment expressif et ne soulignant pas le discours, alors que le capitaine de Thomas Ebenstein n’a aucun problème de style ni de langue (il est autrichien) et compose un capitaine aux accents justes, suffisamment sarcastiques. …

FOTOS

© Opéra de Lyon | Fotograf: Jean Louis Fernandez